A l'issue de cette AG présidée par le
ministre de la Promotion de la Bonne gouvernance, Abdoul Latif
Coulibaly, Mouhamadou Mokhtar Kane a été porté à la tête de la nouvelle
structure.
Dans son adresse, M. Kane a fait part de sa volonté d'œuvrer "pour la reconnaissance officielle et l'adoption d'un statut pour les métiers de la communication des entreprises et des organisations", rapporte le communiqué.
Il a cité les métiers sont relatifs à la communication interne, la communication institutionnelle, la communication sociale pour le changement de comportements, à l'Internet comme le métier de développeur ou de community manager, etc.
Le président de l'APROCOM ambitionne également d'œuvrer ''pour la promotion de ces métiers en élevant chez nos décideurs publics et privés leur niveau de compréhension à ce sujet".
"Il s'agit, a t-il expliqué, d'attirer leur attention sur les conditions de travail et les difficultés auxquelles les professionnels de la communication sont confrontés et qui ont pour nom : absence de statut professionnel, instabilité dans l'occupation des postes, politisation de la fonction, incompréhension avec les patrons, déficit en ressources humaines qualifiées, budgets dérisoires et par conséquent manque de moyens, etc.''
APROCOM compte aussi aider à la professionnalisation des métiers par le renforcement des capacités de ses membres à travers des sessions de formation continue et à travers la promotion de bonnes pratiques en matière d'éthique et de déontologie.
Dans cette perspective, elle veut ''assainir'' les relations entre les professionnels de la communication et les organes de presse. Elle souhaite aussi que le nouveau code de la presse fasse, avant son retour à l'Assemblée nationale, ''la distinction'' entre journalisme et communication.
Pour le président Kane, ''cette précision est importante et contribuera à moraliser la pratique professionnelle dans les deux domaines et à éviter un mélange des genres qui peut porter atteinte à l'éthique et à la déontologie aussi bien pour le journalisme que pour la communication''.
Dans son adresse, M. Kane a fait part de sa volonté d'œuvrer "pour la reconnaissance officielle et l'adoption d'un statut pour les métiers de la communication des entreprises et des organisations", rapporte le communiqué.
Il a cité les métiers sont relatifs à la communication interne, la communication institutionnelle, la communication sociale pour le changement de comportements, à l'Internet comme le métier de développeur ou de community manager, etc.
Le président de l'APROCOM ambitionne également d'œuvrer ''pour la promotion de ces métiers en élevant chez nos décideurs publics et privés leur niveau de compréhension à ce sujet".
"Il s'agit, a t-il expliqué, d'attirer leur attention sur les conditions de travail et les difficultés auxquelles les professionnels de la communication sont confrontés et qui ont pour nom : absence de statut professionnel, instabilité dans l'occupation des postes, politisation de la fonction, incompréhension avec les patrons, déficit en ressources humaines qualifiées, budgets dérisoires et par conséquent manque de moyens, etc.''
APROCOM compte aussi aider à la professionnalisation des métiers par le renforcement des capacités de ses membres à travers des sessions de formation continue et à travers la promotion de bonnes pratiques en matière d'éthique et de déontologie.
Dans cette perspective, elle veut ''assainir'' les relations entre les professionnels de la communication et les organes de presse. Elle souhaite aussi que le nouveau code de la presse fasse, avant son retour à l'Assemblée nationale, ''la distinction'' entre journalisme et communication.
Pour le président Kane, ''cette précision est importante et contribuera à moraliser la pratique professionnelle dans les deux domaines et à éviter un mélange des genres qui peut porter atteinte à l'éthique et à la déontologie aussi bien pour le journalisme que pour la communication''.
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