La presse locale et le Festival de Jazz, c'est comme l'histoire de Gainsbourg: Je t'aime, moi non plus. Les organisateurs se braquent à chaque fois qu'un journaliste fait un papier défavorable ou pose une question qui fàche dans un point de presse. Jusqu'à ce matin, on a méprisé la presse en lui posant tous les problèmes du monde pour l'accès à l'accréditation. Il a fallut que NDARBUZZ en fasse cas à sa Une ce matin pour que des courriels fusent vers les boites email des journalistes les invitant à venir retirer leur carte d'accès au in. Ridicule: mème le mail d'un journaliste qui n'est plus à Saint-Louis a été ciblé. Cela veut dire que leur répertoire des journalistes est faux.
Ce que les organisateurs du festival ignorent est qu'ils doivent cette 23ème édition à la presse locale. Ce sont bien des journalistes de la presse locale qui ont démarché le parrain de cette édition, Amadou Diagna Ndiaye. Le Président de Saint-Louis Jazz le confirmera à qui veut l'entendre. Mieux ou pire, c'est la haine contre la presse locale qui a fait perdre à cette édition un soutien financier de taille. La seule conditionalité a été de signer des contrats en bonne et due forme avec la presse locale. Les organisateurs avaient préférer cracher dessus.
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LE FESTIVAL DE JAZZ MEPRISE LA PRESSE LOCALE: Pourtant, il lui doit la 23ème édition
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