L’académie de Thiès a accueilli, cette année, la 24ème édition de la finale du concours de dictée Paul Gérin Lajoie (Pgl). Après les phases régionales et départementales qui ont mobilisé près de 167.000 élèves, aussi bien du public que du privé, le comité d’organisation a retenu les deux premiers de chaque région, soit 28 élèves, pour disputer la finale. La compétition pour déterminer les deux élèves qui vont représenter le Sénégal au Canada, le 25 mai prochain, a eu lieu samedi dernier.
Le jury a déclaré Fatim Courra Guèye, élève en classe de Cm2 à l’Immaculée conception de Rufisque, championne nationale. La deuxième place est revenue à Cheikh A. Tidiane Sow, élève en classe de Cm2 à l’école élémentaire Alioune Diop de Koungheul.
Cette année, le concours a eu pour thème : « L’éducation pour un monde meilleur ». Une occasion, pour les autorités éducatives, d’inviter les jeunes à la culture de la paix, à la citoyenneté et aux valeurs. A ce propos, la représentante de l’ambassadeur du Canada a déclaré que « l’éducation reste un levier puissant pour changer la vie des personnes. L’éducation a des effets d’entrainement et une incidence sur les enjeux les plus cruciaux pour un monde meilleur, à savoir la santé, l’environnement, la pauvreté et l’équité ».
L’inspectrice d’académie de Thiès, Khadidiatou Diallo, a indiqué que la dictée Paul Gérin Lajoie est un moment de convivialité et de saine émulation où les écoliers rivalisent d’ardeur. Elle a noté que « la dictée Pgl » vise surtout à promouvoir l’excellence par l’écriture du français grâce à des activités pédagogiques stimulantes pour les écoliers du Cours moyen premier et deuxième année (Cm1 et Cm2).
Dans son intervention, la coordonnatrice de la Fondation Paul Gérin Lajoie s’est appesantie sur la nécessité de décentraliser la finale du concours. En effet, pendant 22 ans, elle s’est jouée à Saint-Louis. Et dans le souci d’impliquer tout le monde, la Fondation a décidé d’organiser la finale dans chaque capitale régionale. Ce qui va permettre d’avoir beaucoup de sponsors et de partenaires. Louise Dia Kanté a aussi invité les privés et le ministère de l’Education nationale à mutualiser leurs forces pour la pérennisation de ce concours.
Selon Joseph Pierre Ndiaye, directeur de cabinet du ministre de l’Education nationale, « en contribuant à l’amélioration de la santé et de l’éducation, la Fondation Pgl a misé sur le capital humain, considéré comme un facteur déterminant de l’émergence ». Aux heureux lauréats, il a assuré que la tutelle ne ménagera aucun effort pour les accompagner, afin qu’ils reviennent du Canada auréolés de gloire comme dans le passé.
Le jury a déclaré Fatim Courra Guèye, élève en classe de Cm2 à l’Immaculée conception de Rufisque, championne nationale. La deuxième place est revenue à Cheikh A. Tidiane Sow, élève en classe de Cm2 à l’école élémentaire Alioune Diop de Koungheul.
Cette année, le concours a eu pour thème : « L’éducation pour un monde meilleur ». Une occasion, pour les autorités éducatives, d’inviter les jeunes à la culture de la paix, à la citoyenneté et aux valeurs. A ce propos, la représentante de l’ambassadeur du Canada a déclaré que « l’éducation reste un levier puissant pour changer la vie des personnes. L’éducation a des effets d’entrainement et une incidence sur les enjeux les plus cruciaux pour un monde meilleur, à savoir la santé, l’environnement, la pauvreté et l’équité ».
L’inspectrice d’académie de Thiès, Khadidiatou Diallo, a indiqué que la dictée Paul Gérin Lajoie est un moment de convivialité et de saine émulation où les écoliers rivalisent d’ardeur. Elle a noté que « la dictée Pgl » vise surtout à promouvoir l’excellence par l’écriture du français grâce à des activités pédagogiques stimulantes pour les écoliers du Cours moyen premier et deuxième année (Cm1 et Cm2).
Dans son intervention, la coordonnatrice de la Fondation Paul Gérin Lajoie s’est appesantie sur la nécessité de décentraliser la finale du concours. En effet, pendant 22 ans, elle s’est jouée à Saint-Louis. Et dans le souci d’impliquer tout le monde, la Fondation a décidé d’organiser la finale dans chaque capitale régionale. Ce qui va permettre d’avoir beaucoup de sponsors et de partenaires. Louise Dia Kanté a aussi invité les privés et le ministère de l’Education nationale à mutualiser leurs forces pour la pérennisation de ce concours.
Selon Joseph Pierre Ndiaye, directeur de cabinet du ministre de l’Education nationale, « en contribuant à l’amélioration de la santé et de l’éducation, la Fondation Pgl a misé sur le capital humain, considéré comme un facteur déterminant de l’émergence ». Aux heureux lauréats, il a assuré que la tutelle ne ménagera aucun effort pour les accompagner, afin qu’ils reviennent du Canada auréolés de gloire comme dans le passé.
Pape Coly NGOME
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