Cette décision
prise par le Gouvernement, de manière unilatérale et sans raisons valables,
démontre à suffisance que nos autorités qui ont manifestement opté pour la
stratégie du pourrissement ne sont pas pressées de trouver des solutions aux
problèmes de l’Université sénégalaise.
Face à cette
situation, le SAES :
-
prend à témoin l’opinion nationale et
internationale ;
-
réaffirme sa disponibilité à œuvrer pour une rapide
sortie de crise ;
-
réitère sa demande de retrait ou, à défaut, de révision
de la loi cadre qui viole l’autonomie des universités ;
-
appelle les militants, la société civile et les
partisans d’un enseignement supérieur public de qualité à se mobiliser contre
les dérives du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Nonobstant le
coup de frein donné aux négociations par le Gouvernement, le Bureau national du
SAES demande le maintien des Assemblées
générales de Campus prévues le lundi 2 mars 2015 à l’Université Cheikh Anta
Diop de Dakar, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, à l’Université
Assane Seck de Bambey, à l’Université Alioune de Bambey et à l’Université de
Thiès.
POUR LE BUREAU NATIONAL
LE CHARGÉ DE L’ADMINISTRATION ET DE LA COMMUNICATION Tweet
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